Genèse
6:19-- « Les eaux grossirent de plus en plus, et toutes les hautes
montagnes qui sont sous le ciel entier furent couvertes. »
Difficulté : Les
scientifiques modernes nient un déluge total.
Mais si toutes les hautes montagnes furent couvertes sous la terre,
pourquoi ne découvrons nous pas des évidences d’un catastrophisme partout
ailleurs ? Des scientifiques ont
présupposé qu’il fallait huit fois plus d’eau que notre planète puisse contenir
pour couvrir l’Himalaya, et où irait cette eau après ? Mais c’est sans compter le pouvoir récréatif
de Dieu, cela défi la logique.
Dénouement : Genèse 7 : 21 déclare que tout « ce qui se
mouvait sur la terre périt, » et montre ainsi l’emphase du texte à
comprendre un déluge universel. Les eaux
ne s’apaisèrent qu’après 371 jours (cf. Gen 7 :11,24 ; 8 :3-14). Si le jugement final de la terre entière sera
détruit par le feu est mis en parallèle avec le déluge de Noé par Pierre (2
Pierr 3 :3-7 ; 1 Pierr 3 :20).
Genèse 6 :17 dit que Dieu fit venir le déluge pour que tout ce qui
respire périsse. Une évidence
culturelle est qu’après la plupart des peuples des environs gardent une mémoire
d’un déluge sur la terre. Les Sumériens,
les Babyloniens, et les Assyriens en Mésopotamie ; La tradition Egyptienne
parle d’un Toth qui, seul fut sauvé d’un déluge ; la tradition Grecque
connaît un Deucalion et Pyrrhus ; tout comme l’Asie mineure a sa tradition
de Noé. Les Hindous disent dans leur
légendes qu’un certains Manu et sept autres furent sauvé dans un bateau d’un
déluge universelle ou Nu-u chez les Hawaiiens ; ou Tezpi chez les
Amérindiens ; ou les l’histoire de Manabozho parmi les
Algonquins ? Toutes ces diverses
traditions sont d’accord que toute l’humanité fut détruite par un déluge
dévastant la vie et les animaux parce qu’ils déplurent aux dieux (Dieu) et
qu’un seul homme avec sa famille ou ses amis fut survécurent de la catastrophe
par un bateau ou radeau ou un large canoë du même genre.
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